Cinéma : Kinshasa des anciens bandits se transforment en percussionnistes convaincus et convaincants.
Ce mardi, le Festival international du documentaire à Biarritz (Fipadoc) à Kinshasa . La cinéaste belge Marie-Françoise Plissart, a créé l'affection chez les anciens malfrats d’arrêter avec la délinquance et de devenir percussionnistes convaincus et convaincants dans le quartier populaire de Barumbu au Congo Kinshasa lors du tournage de son film la vie des « Kulunas ». A en croire cette cinéaste belge, Marie Françoise Plissart, le début n'a pas été difficile pour elle d'en vaincraient ces anciens bandits. Marie-Françoise Plissart : «J’ai toujours rêvé d’improviser et créer quelque chose avec des gens qui inventent. D’autre part, j’ai toujours aimé d’aller à Kinshasa. C’est le lieu où des énergies fortes et très différentes ont pu se mettre ensemble : l’énergie de ces musiciens, ces anciens bandits, inventant des musiques et des jeux, et puis moi-même, venant de Belgique, de Bruxelles. Tout à coup, il y a ce mélange : eux et moi. C’était très passionnant, et aussi très difficile.» a-t-elle declaré, Marie Françoise, avant de parler de leur relation avec ces anciens voyous du Congo Kinshasa :« Un ami les connaissait comme musiciens, mais aussi leur histoire. Comme il avait lu mes livres sur Kinshasa, il pensait que j’étais la bonne personne pour ça. Au début, j’avais très peur, parce qu’il est difficile de faire un film. On a pris beaucoup de temps pour se connaître. Et tout ce temps a permis d’avoir le film comme il est : avec une grande relation de confiance entre eux et moi». Rfi / Kolazine. Com