OPINION Quelle mouche a piqué Ousmane Gaoual Diallo !
Décidément, l’hôpital ne cesse de se moquer de la charité à chaque fois que le « déshonorable » « dépité » Ousmane Gaoual Diallo sort sa caboche. Champion toute catégorie en diffamation, il a le toupet de taper à bras raccourci sur les institutions de la République dont la légale et légitime incarnation reste et demeure le Président Alpha Condé. En plus d’être foncièrement de mauvaise foi, Ousmane Gaoual se donne le droit d’inciter à la désobéissance civile à travers des propos déshonorant pour un « élit » du peuple de son rang. Négativiste devant l’eternel, il a le complexe de reconnaitre les Douze travaux d’hercule d’un pouvoir victime de la mal gouvernance de son mentor de Cellou Dalein Diallo. Comme qui dirait, qui s’assemble se ressemble. Passons…
L’aigri de Gaoual (c’est son village) s’est récemment fendu en six actes pour vilipender celui qui préside aux destinées de la Guinée.
1er acte, il parle de « mains basses sur le gouvernement »
En s’abritant derrière des « observateurs », il fait preuve de lâcheté sans précédent tout en oubliant que l’habitude est une seconde nature. En mal d’inspiration, il s’en prend au fils unique du président Alpha Condé dont la compétence est reconnue dans le monde. Sans preuves, il se dépense en salive pour trouver en ce fils prodige le parfait bouc émissaire de l’appréciation que des Guinéens patriotes pensent de la composition du gouvernement. Jaloux de la compétence de Mohamed Tall et de la fidélité de Thierno Ousmane. Il ne sait peut-être pas que la bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe. En termes clairs, la calomnie la plus vile ne peut ternir une réputation sans tache.
2e acte, il accuse le pouvoir de « contrôler le RPG Arc-en-ciel »
En quoi la cuisine intérieure d’une alliance doit-elle intéresser un adversaire qui devrait plutôt applaudir la « fronde » d’une jeunesse qu’il voudrait récupérer pour les besoins de la cause. Peine perdue, car la jeunesse est revenue à de meilleurs sentiments. Il ne doit pas se livrer à un travail de Sisyphe, déshonorable Gaoual. Il ferrait mieux de jouer au pompier quant à la crise qui couve au sein de sa formation politique. L’arrivée de l’ouragan Bah Oury risque de tout balayer sur son passage. Après le vent, c’est la tempête qui vous attend à l’UFDG.
3e acte, il estime que le président de la République cherche à « contrôler
l’armée. » Même si tu n’aimes pas le chien, reconnais-lui la blancheur de ses dents, nous enseigne le dicton. S’il y a une intuition qui fait la fierté de la Guinée, c’est bien le changement interne qui est opéré au sein de la ‘’Grande Muette’’. Les reformes qui y sont menées font telles que c’est l’Afrique et le monde qui envient la Guinée. Seuls des aigris de son espèce ne peuvent rien comprendre de la réalité des faits.
4e acte, il raconte que le PRG veut « se faire légitimer par la Basse Côté. »
Aveuglé par la passion, il met Sidya Touré, Haut représentant du chef de l’État, dans le lot des leaders soussou. Décidément, le ridicule ne tue pas. En quoi cela le dérange- t-il si des leaders d’une contrée se donnent la main. Il ne voit pas que la plupart des députés de son parti sont de Fouta. Il devrait plutôt balayer devant sa case avant de jeter la première pierre sur l’autre. Obnubilé par des questions subjectives, Ousmane Gaoual n’a pas leçon à donner à quelqu’un. comme il sait pourfendre le pouvoir, qu’en dit-il de la magnanimité de la Première dame quand cette dernière a volé au secours dune mère de siamois. Motus et bouche cousues.
5e acte, il disserte sur la « dissolution de l’Assemblée… »
Qu’est-ce qu’il va vite en besogne, cet énergumène de politicard. Plus le singe grimpe, plus on voit sa queue dehors. Ousmane Gaoual n’a d’objectifs que de mélanger les Guinéens entre eux. Urbi et orbi, il cherche à semer les graines de la haine dans le pays. Sa jalousie congénitale et ses mensonges grotesques font de lui un être répugnant pour la stabilité du pays. Il n’arrive toujours pas à avaler l’amère pilule de leur déconfiture électorale. Quelle mouche a donc piqué ce monstre politique. En tout cas, il lui faut trouver un vaccin anti « dérapage verbal ». S’il estime avoir le monopole de propos désobligeants, (eh bien !) qu’il il trouvera du répondant à sa taille. Chiche !
Les premiers signe d’une Guinée unie et solidaire se construisent sous ses yeux, en ce que le président de la République joue la carte du rassemblement. C’est le moment pour lui de se repentir afin de rejoindre le panthéon de grands hommes politiques. A bon entendeur...
Diallo Boubacar