Guinée : Le projet de consultation de la jeunesse, lancé ce lundi à Conakry
Ecouter les jeunes sur leurs préoccupations et besoins, c’est essentiellement le but visé par ce projet lancé par le ministère de tutelle. Cette campagne, initiée pour la première fois sur le continent, est une initiative qu’il faut apprécier à sa juste valeur en ce sens que si elle réussissait, il s’agira surtout de résoudre les préoccupations de la jeunesse guinéenne. Un seul slogan au cours de cette première campagne : « Nous jeunes ont du talent ».
Les précisions du ministre de la jeunesse et de l’emploi jeunes : « La singularité de cette démarche est justement de libérer la parole, de ne pas faire de politique publique pour les jeunes pour que les jeunes eux-mêmes soient des forces de proposition. C’est pour cela que nous avons opté d’aller vers les jeunes, à l’intérieur du pays, dans toutes les sous-préfectures, dans les districts pour que ces jeunes nous disent justement ce qu’ils veulent. Ce qu’ils attendent »
Pour le porte-parole du gouvernement, cette campagne va au-delà du fait d’écouter ces jeunes, mais c’est surtout l’occasion pour le gouvernement et ses partenaires. Albert Damantang Camara : « Je suis content qu’un ministère en charge de la jeunesse ait pensé à cette consultation. Ça va donner en fin l’occasion au gouvernement et ses partenaires de savoir exactement quelles sont les préoccupations des jeunes pour avoir une base de do
Ecouter les jeunes sur leurs préoccupations et besoins, c’est essentiellement le but visé par ce projet lancé par le ministère de tutelle. Cette campagne, initiée pour la première fois sur le continent, est une initiative qu’il faut apprécier à sa juste valeur en ce sens que si elle réussissait, il s’agira surtout de résoudre les préoccupations de la jeunesse guinéenne. Un seul slogan au cours de cette première campagne : « Nous jeunes ont du talent ».
Les précisions du ministre de la jeunesse et de l’emploi jeunes : « La singularité de cette démarche est justement de libérer la parole, de ne pas faire de politique publique pour les jeunes pour que les jeunes eux-mêmes soient des forces de proposition. C’est pour cela que nous avons opté d’aller vers les jeunes, à l’intérieur du pays, dans toutes les sous-préfectures, dans les districts pour que ces jeunes nous disent justement ce qu’ils veulent. Ce qu’ils attendent »
Pour le porte-parole du gouvernement, cette campagne va au-delà du fait d’écouter ces jeunes, mais c’est surtout l’occasion pour le gouvernement et ses partenaires. Albert Damantang Camara : « Je suis content qu’un ministère en charge de la jeunesse ait pensé à cette consultation. Ça va donner en fin l’occasion au gouvernement et ses partenaires de savoir exactement quelles sont les préoccupations des jeunes pour avoir une base de données, de thématique de développement qui nous permettront d’être plus efficients dans le travail qu’on fait vis-à-vis de ces jeunes-là »
Une occasion pour les jeunes de se faire entendre et poser leurs problèmes. Reste à savoir si l’idée ira à son terme, c’est-dire, faire de ces préoccupations des solutions réelles pour la jeunesse.
Amadou Keita
nnées, de thématique de développement qui nous permettront d’être plus efficients dans le travail qu’on fait vis-à-vis de ces jeunes-là »
Une occasion pour les jeunes de se faire entendre et poser leurs problèmes. Reste à savoir si l’idée ira à son terme, c’est-dire, faire de ces préoccupations des solutions réelles pour la jeunesse.
Amadou Keita